Comment en finir avec le stress du boulot quand on est introverti

Connaissez-vous Eric ?

Eric travaille dans une grande entreprise.
Et il est hyper stressé.
Un truc de dingue.

Tous les matins : la boule au ventre en allant au boulot.
Tous les soirs : du mal à s’endormir. Il repense à la journée ; à des trucs qu’il va devoir faire le lendemain et qui le stressent ; à la réunion de demain où il va devoir présenter les résultats intermédiaires du projet sur lequel il bosse et où il sait d’avance qu’un gars du département voisin va lui poser des questions déstabilisantes ; il pense à tout ça… et il n’arrive pas à dormir.

Parfois, il s’endort comme une masse le soir, mais il se réveille à 3h du matin puis n’arrive plus à se rendormir pendant 1h, à cause de toutes ces pensées qui le traversent.
Il aimerait tellement arriver à faire le vide.
Ne plus penser à tout ça quand il n’est pas au boulot.

D’ailleurs, ces pensées sur le boulot l’envahissent dans tout plein de situations.
Il n’arrive plus vraiment à profiter des moments simples.
Ni à profiter de ses enfants.
Ni à écouter sa femme.
Ni à profiter du moment où il fait un peu de course à pieds avec le casque sur les oreilles.

De quoi est-il stressé ?
Il ne le sait pas vraiment au juste.
De tout plein de choses.
Des choses qui lui paraissent futiles : il se dit qu’il ne devrait vraiment pas stresser pour tout ça, c’est quand même pas la fin du monde, c’est juste le boulot !

Par exemple : pourquoi tant stresser de cette réunion téléphonique demain, où il devra dire quelques mots, rien de bien important…
Ou encore : pourquoi stresser du dossier qu’il doit remettre demain à son boss, pourtant il sait bien qu’il fait du bon boulot… alors pourquoi ?

La peur de ce que le boss pourra penser ?
Pourtant le boss est plutôt sympa… même s’il est vrai que parfois il sait appuyer là où ça fait mal… mais bon, c’est pour son bien…

Est-ce qu’il déteste ce job ?
Y est-il malheureux ?
Pas sûr…
… et puis il faut bien gagner sa vie.
Et autre part, il retrouverait sans doute les mêmes problèmes…
… car il le sent bien : ces problèmes sont en lui.

Le truc, c’est que ce stress lui bouffe quand même pas mal la vie à Eric.

Même s’il n’y pense pas tant que ça… c’est assez présent, tout le temps.
Il n’y pense pas tant que ça, parce qu’il y est habitué.
C’est le même stress que celui qu’il avait dans la cour de récré à l’école, où il fallait être fort en foot et avoir une grande gueule pour être apprécié par le groupe de copains.
C’est le même stress qu’à la fac où c’est celui qui était le plus cool et le plus à l’aise dans le groupe qui avait la plus grande côte et le plus de nanas autour de lui.

Ici, dans sa boite, c’est un peu différent…
… mais pas tant que ça.

C’est toujours les grosses blagues lourdingues du collègue en plein milieu de l’open-space, alors qu’Eric essaie de se concentrer sur son boulot.
C’est toujours le petit chef au-dessus de lui, très sûr de lui, qui lui explique que pour faire son trou dans l’entreprise et obtenir une augmentation, il va falloir être un peu plus « visible »…
… c’est-à-dire dire des choses en réunion même si ce qu’on a à dire n’est pas vraiment intéressant,
… c’est-à-dire montrer à tout le monde le bon boulot qu’on fait sinon personne ne le remarque,
… etc.

C’est usant.
C’est stressant.
Tout ce monde autour d’Eric, à longueur de journée.
L’open-space : ça lui sort par les trous de nez.

Parfois, il a juste envie de rester chez lui, et se concentrer tranquillement sur son boulot. Mais ce n’est pas vraiment l’habitude dans cette boite, le « home-office ».

Ce qui est étrange,
c’est qu’il y a un grand décalage entre ce stress, et l’image qu’Eric a de lui-même.

Eric sent qu’il a un grand potentiel.
Qu’il est plutôt bon dans ce qu’il fait.

Eric voit bien que l’entreprise lui fait confiance, lui propose des projets, des responsabilités…
En fait, il ne semble pas y avoir de véritable problème à première vue !

Si ce n’était ce stress permanent au fond de lui.

Et ce qui le stress encore plus,
c’est que ce stress ne colle pas à l’image qu’il aimerait donner :
quelqu’un de sûr de lui,
qui sait ce qu’il fait,
qui affirme ses opinions sans crainte,
et qui sait faire avancer les choses de manière pragmatique.

Quand il s’imagine bosser seul de chez lui,
N’avoir aucun chef,
Faire un truc qu’il aime (comme écrire des romans ou jouer de la musique, ou même lancer une start-up !)…
… il se sent soulagé.

C’est un peu un rêve, d’être indépendant…

Mais en est-il si sûr ?
Ne serait-il pas un peu perdu, seul ?
N’a-t-il pas besoin de faire partie d’une équipe quand même ?
Peut-être faut-il qu’il apprenne surtout à moins stresser, à plus profiter de la vie, et moins se mettre la pression pour être parfait ?

Et puis, il n’a pas vraiment d’idées de ce qu’il pourrait faire s’il voulait lancer son activité indépendante.
Et puis c’est trop risqué.
Et puis ce boulot n’est pas si mal pour l’instant, il a le mérite d’exister et de lui donner de quoi vivre à la fin de chaque mois.
Du coup, pourquoi ne pas rester dans ce job, profiter de la stabilité que ça lui donne, et faire en sorte que ce boulot le stresse beaucoup moins, pour mieux profiter de la vie ?

D’ailleurs, s’il était moins stressé, ça lui permettrait d’avoir plus d’énergie,
et d’avoir l’esprit plus libre quand il n’est pas au boulot…
… ce qui pourrait sans doute l’aider à enfin trouver une idée
qui lui permette de créer sa propre petite entreprise ou de trouver le boulot de ses rêves.

Mais c’est bien là le problème :
Il sait bien, théoriquement, que c’est trop bête d’être stressé à ce point par le boulot.
Que ce n’est pas le boulot de sa vie, ce n’est pas sa passion, du coup il devrait remettre le boulot à sa place : une partie importante de sa vie mais pas la plus importante.

Mais ça lui paraît impossible.
Il ne voit pas comment faire.
Il se met une pression pas possible pour faire du bon boulot, pour être apprécié par ses collègues, pour être quelqu’un de « bien » dans l’entreprise, qui maîtrise son sujet, qui est sociable, appréciable…

Quand il rêve un peu de sa vie idéale,
Eric imagine qu’il est décontracté, relax, sûr de lui.

Quand il est au boulot : il est impliqué, appliqué dans ce qu’il fait, mais ne ressent pas de stress. Il fait juste les choses de la meilleure manière qu’il puisse le faire.
Quand il a quelque choses à dire, il le dit. Tout simplement. Sans crainte de ce que les autres pourraient en penser.

Il est apprécié au boulot. Et il apprécie ses collègues.
Il sait s’isoler, mais souvent il a envie aussi d’être avec les autres, et de rire avec eux.
La journée passe, intéressante, bienveillante.
Il se sent bien.

Il a régulièrement des discussions d’égal à égal avec son chef. Il n’y a pas de jugement, simplement une relation professionnelle respectueuse.
Quand il veut bosser de chez lui une journée, il le fait. Il se concentre alors

Et puis, comme il est relax, il a du temps pour lui à côté du boulot.
Quand il sort du boulot, sa deuxième vie commence. Il ne pense plus au boulot, car il est satisfait de sa journée.
Alors il se ballade un peu, profite de la vie. Puis rentre chez lui, et profite à fond de ses proches, pleinement dans l’instant présent.
Le soir, il réfléchit à ses projets personnels. Il a en tête plusieurs idées de trucs qu’il pourrait lancer. Pour compléter ses revenus, et éventuellement un jour quitter sa boite et se concentrer sur ses projets.

Mais il n’est pas stressé : ça viendra. L’important est de commencer, et c’est ce qu’il fait.
D’ailleurs, le simple fait de travailler un peu sur d’autres projets à côté de son boulot lui fait du bien. Ca donne du sens à sa vie. Même si ces projets ne lui rapportent aucun argent pour le moment.
Il se sent aligné du coup. Bien dans ses baskets.

Il a plaisir à voir ses proches, ses amis, et à parler de ses projets. Il est fier de ce qu’il fait. De sa vie. Il aime en parler…
(pas comme avant où il avait toujours une sorte de honte à parler de sa vie professionnelle… comme si ce n’était pas vraiment quelque chose dont il pouvait être fier…).

Bien-sûr, tout cela est dans ses rêves.
Aujourd’hui, il sent bien que c’est vers ça qu’il souhaite aller.

Mais il n’en voit pas le chemin aujourd’hui.
Tout englué qu’il est dans son stress quotidien.

Eric : c’est moi.
(c’est mon deuxième nom sur ma carte d’identité).

C’est moi il y a quelques années.
Et c’est aussi tant de personnes que j’ai rencontrées.

Peut-être vous reconnaissez-vous en partie dans cette histoire, vous aussi ?

Pour moi, les années ont passé depuis ce temps-là.
Je m’en suis sorti, petit à petit.
Et j’ai eu envie, aujourd’hui, de réfléchir aux choses qui m’ont aidé à en sortir.
Aux choses aussi, que j’aurais aimé qu’on me dise à l’époque, et qui m’auraient aidé à sortir beaucoup plus vite de cercle vicieux de stress permanent.

Avec du recul, je sais ce qui a marché sur moi.
Ainsi que ce qui marche depuis pour les personnes introverties que j’accompagne.
C’est ce que j’aimerais partager aujourd’hui avec vous.

Ce qui a marché pour moi,
c’est quand j’ai commencé à réfléchir autrement.

A cesser d’écouter les conseils qu’on me donnait à droite à gauche (généralement des conseils bienveillants mais plutôt extravertis), qui ne fonctionnaient manifestement pas pour moi.
Et quand j’ai commencé à regarder un peu plus en moi.
En ce dont j’avais VRAIMENT besoin.
En ce dont j’étais VRAIMENT capable.

C’est passé par une grande prise de conscience de ce qu’était mon tempérament introverti, et des besoins spécifiques que je n’écoutais pas, ou pas assez.
Et puis par une reconquête de ce qui faisait mon originalité. Ma personnalité. Pour être vraiment moi-même.

C’est passé aussi par une grande réflexion sur la place du travail dans ma vie. Ce que ça m’apportait. Et pourquoi ça me stressait.
Je me suis posé énormément de questions pendant un an.
Et petit à petit, j’ai trouvé des réponses.

Et j’ai réussi à trouver un meilleur équilibre.

Au final, j’ai réussi également à trouver la tranquillité d’esprit pour avoir le temps de bosser sur mes projets personnels à côté du boulot.

C’est là que tout a fini par aller très vite :
j’ai trouvé un truc qui me passionnait, et j’ai fini par quitter mon job, absolument sûr de mon choix.

Tout ceci n’aurait pas été possible si je n’avais pas changé ma manière d’aller au boulot le matin.
Ma manière de bosser pendant la journée.
Mon rapport à mes collègues, à mon boss, à mon entreprise de manière générale.
Ma manière de sortir du boulot le soir, et refermer la case « boulot » pour ouvrir la case « vie perso ».
Ma manière de considérer mes finances personnelles aussi. Et le salaire que m’offrait la boite.

J’ai travaillé sur mes peurs…

… peut-être connaissez-vous aussi ces peurs-là :

  • La peur de ne pas progresser, et d’être viré un jour de ma boite comme on le voit tant
  • La peur de de trop donner à mon travail au détriment de mes proches et de ma vie perso
  • Du coup : la peur de passer à côté de sa vie
  • La peur de la réunion du lendemain, et de ne pas arriver à trouver mes mots
  • La peur de ne pas être reconnu dans la boite – le fameux syndrome de l’imposteur, une peur de ne pas être à la hauteur parce que l’on n’est pas très à l’aise à l’oral
  • La peur de décevoir ma chérie à force de ne penser qu’à mon boulot et d’être tout le temps stressé
  • La peur de passer à côté de la vie de mes enfants à force de n’être pas disponible d’esprit pour eux
  • La peur de me détruire petit à petit la santé à force de stresser comme ça
  • La peur de ce stress qui m’empêche de dormir, et de vivre…
  • L’angoisse en arrivant au boulot le matin, de devoir encore entrer dans cet open space et dire bonjour à tout le monde
  • La peur de ce que pensent les collègues de nous
  • La peur des remarques de son chef sur son manque de visibilité
  • La peur donner l’impression de manquer de charisme

Le pire dans tout ça, c’est la frustration de donner tant d’énergie à cette entreprise, alors qu’elle ne nous apporte que du stress.

A l’époque, on me disait souvent : « si le boulot te stresse autant, essaie de le prendre plus comme un truc alimentaire, de profiter de la stabilité financière qu’il t’apporte, et profites-en à côté pour faire des choses qui te plaisent ! »

Mais je n’y arrivais pas. Parce que justement : le boulot prenait une place tellement énorme dans ma vie, il était tellement important pour moi:

  • d’y être apprécié
  • de faire du bon boulot, de montrer que j’étais bon
  • d’être félicité et reconnu
  • de progresser (la stagnation me terrifiait… logique puisque ce que j’avais ne m’intéressait qu’à moitié et me stressait, j’imaginais qu’en progressant tout irait mieux… on cherche toujours les solutions à côté, alors qu’elles sont en nous).
  • etc.

C’est quand j’ai commencé à me poser les bonnes questions,
et à regarder en moi, que les choses se sont débloquées.

En seulement quelques mois (il m’a fallu environ 6 mois entre les premières prises de conscience et le moment où j’ai senti une nouvelle sérénité, qui m’a permis de prendre la décision de partir de mon boulot).
Alors que ça faisait 8 ans que je stressais beaucoup trop…

Du coup je me suis replongé dans ma vie de l’époque, emplie de stress, et j’ai réfléchi aux choses que j’ai faites, découvertes, et changé petit à petit dans ma vie…
… et qui m’ont permis d’être beaucoup plus relax au bout de quelques mois.

J’ai réfléchi aussi aux trucs qui ont aidé mes clients également.

J’ai réuni tout ça dans ma nouvelle formation :

«  En finir avec le stress permanent du boulot : comment vous sentir enfin à la hauteur, apprécié pour ce que vous êtes, vous sentir bien dans vos journées de boulot (même dans un boulot dans un open-space ou un boulot qui n’est pas votre passion), et avoir l’esprit libre pour profiter de la vie et vous concentrer sur vos projets personnels une fois sorti du boulot. »

Voici ce qu’on va y voir ensemble :

  • les petites choses toutes simples que vous pouvez commencer à faire dès demain pour enlever un peu du poids du stress que vous donne le boulot
  • la manière de s’organiser quand on est introverti qui permet d’être plus relax (les conseils que l’on entend en entreprise pour être « efficace » vont généralement à l’encontre de ce qui est naturel pour les personnes introverties… la découverte de cette manière un peu différente a été une grosse révélation pour moi, et m’a permis très rapidement de diminuer pas mal mon stress lié à ma performance au boulot, sans rien changer à ma performance effective).
  • Les qualités que vous pouvez mettre en valeur au boulot pour gagner en charisme perçu par les autres, et ainsi moins stresser de ce que les autres pensent de votre « trop grande discrétion ».
  • Comment montrer à votre chef et à vos collègues ce que vous valez, sans jouer à l’extraverti, pour qu’ils arrêtent de vous reprocher votre manque de visibilité et vous apprécient à votre juste valeur
  • Comment trouver un peu plus de plaisir dans les tâches quotidiennes du boulot qui ne vous passionnent pas
  • Une méthode simple pour vous affirmer dans les réunions à votre manière, sans devoir interrompre les autres et avoir toujours un avis tranché comme certains de vos collègues…
  • Les choses qui m’ont VRAIMENT aidé à trouver un meilleur équilibre travail / vie personnelle (ça faisait des années que j’essayais… c’est quand j’ai compris ça que ça a vraiment changé)
  • Les déclics sur la manière de gérer mon argent, qui m’ont permis de déstresser par rapport à ma paie, de commencer à économiser un peu plus, et de cesser de voir l’augmentation comme LE truc indispensable à obtenir (ce qui est source de grand stress parce que si on veut une augmentation, alors il faut être apprécié et performant)
  • Comment enfin trouver un équilibre satisfaisant entre l’open-space, la cantine à midi, la pause-café… et les moments dont vous avez besoin pour vous ressourcer dans la solitude (sans que vous donniez aux autres l’impression de vous isoler)
  • Les différentes révélations qui m’ont permis de cesser de mettre l’entreprise et mon job en permanence au premier plan de ma vie, alors que je SAVAIS au fond de moi qu’il y avait des choses plus importantes pour moi (ce n’est certainement pas à ce job que je repenserai en premier sur mon lit de mort, et pourtant quand j’étais dans ce job il me prenant TOUTE ma vie… jusqu’à ce que je commence à avoir ces déclics).
  • Comment être plus relax au cours de la journée : avec les collègues notamment, et comment prendre un peu plus de plaisir simple dans la vie commune du bureau, prendre les choses un peu plus gaiement, plus comme un jeu… pour que la journée soit un relativement bon moment à passer, même si le job n’est pas votre passion
  • Comment être plus à l’aise à l’oral, plus intégré, mieux dans vos baskets dans les moments sociaux de la journée, sans jouer à quelqu’un que vous n’êtes pas, ni vous forcer plus que nécessaire dans certaines relations qui ne vous apportent rien de spécial (il ne s’agit pas d’être désagréable avec les personnes qui comptent peu pour vous : juste de trouver le bon équilibre)
  • Comment retrouver un sentiment de « liberté » dans votre vie : de ne pas tout devoir à l’entreprise, et d’être libre de vos choix.

Mon objectif pour vous dans cette formation :

C’est que rapidement vous gagniez une nouvelle sérénité.

Un nouveau cercle vertueux :

  • Moins de stress au quotidien
  • Vous vous sentez plus aligné avec votre vie
  • Vous êtes plus relax dans vos relations avec vos collègues, plus à l’aise, plus sûr de vous
  • Vous êtes apprécié pour ce que vous êtes, pour votre personnalité naturelle, et vous ne cherchez plus à « jouer un rôle » pour entrer dans le moule.
  • Vous vous sentez plus sûr de vous dans les groupes et réunions, et vous affirmez plus facilement à votre manière
  • Vous prenez plus de plaisir au boulot même si ce n’est pas votre passion
  • Vous avez l’esprit plus disponible hors du boulot pour d’autres choses importantes de votre vie : vos proches, vos passions
  • Vous êtes plus relax financièrement
  • Vous savez dans quelle direction va votre vie, et pourquoi vous allez au boulot, avec des objectifs clairs à court terme, moyen terme, long terme
  • vous avez l’esprit libre pour commencer à développer d’autres projets qui pourraient potentiellement vous aider à quitter votre job un jour

Je vais partager tout plein de petites choses qui m’ont aidées, qui ont aidé les clients que j’accompagne individuellement, et qui pourraient bien vous aider vous aussi à diminuer ce stress quotidien que vous ressentez.

Je vais vous faire faire de petits exercices d’introspection, vous inviter à réfléchir sur certains aspects de votre vie, sur votre manière de voir les choses et de vous organiser…
… et vous suggérer tout un tas de conseils en vue de vous apporter quelques déclics qui pourraient faire toute la différence.

Tout ne sera peut-être pas applicable pour vous, mais dans tout ce que je vais partager avec vous, il y a des chances qu’il y ait au moins 2 ou 3 petites choses qui fassent déclic chez vous, et qui enclenchent un nouveau cercle vertueux de sérénité dans votre vie professionnelle.

Et ce sera déjà énorme !

Ça vous dit de tenter ?

Cette formation n’est normalement plus accessible, car je développe maintenant de nouveaux types d’accompagnement.

Mais en ce moment, jusqu’au 29 décembre 2022, je vous propose de la télécharger exceptionnellement,

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